Actualités
Certifications environnementales des bâtiments : quelle approche privilégier ?
Le 29 septembre, Energie & Environnement vous propose un webinaire dédié aux diverses certifications environnementales dans le domaine de l’immobilier. Pour vous aider à mieux vous y retrouver, nous verrons ensemble comment elles contribuent à garantir la valeur d’un développement, mais aussi les spécificités de chacune d’entre elles et leur champ d’application.
BREEAM, DGNB, HQE, LEED ou encore WELL. Ces acronymes associés à des développements immobiliers se sont multipliés ces dernières années. Derrière ces lettres, on trouve des référentiels internationaux visant notamment à reconnaître la performance environnementale d’un immeuble… Au-delà, les démarches de certification associées à ces référentiels viennent valider la qualité d’un bien immobilier.
Valeur environnementale
« Inscrire un développement dans une démarche de certification environnementale contribue notamment à la valeur d’un immeuble sur le marché, explique François Deravet, Responsable de projets au sein d’Energie et Environnement. Un immeuble pouvant faire valoir un label, selon un référentiel, trouvera plus facilement un locataire ou un acquéreur. D’une part, dans une optique de maîtrise des charges, les occupants sont de plus en plus attentifs aux performances énergétiques de leur immeuble. D’autre part, au cœur de leur démarche RSE, ils ont aussi tendance à privilégier des espaces de travail plus respectueux de l’environnement, plus confortable et contribuant à minimiser l’impact carbone de leur activité. »
De nombreux critères à prendre en compte
Les certifications environnementales se sont considérablement renforcées, au fil des 20 dernières années, intégrant une grande diversité de critères : la performance énergétique des bâtiments, les matériaux qui le constituent, la gestion de l’eau et des déchets, son impact paysager, l’accessibilité au réseau de transports en commun, la circularité et, de plus en plus, la dimension socio-culturelle directement liée au bien-être des occupants.
Elever la qualité des développements
Ces référentiels, avant toute chose, servent à guider les promoteurs dans la conception et le développement d’immeubles toujours plus qualitatifs, tout en contribuant à élever les performances environnementales dans le domaine de l’immobilier.
Pour les développeurs toutefois, considérant la multiplication des référentiels et des certifications, il n’est pas toujours évident de déterminer lesquels privilégier.
Quel référentiel privilégier ?
Si chaque référentiel à ses spécificités, ils poursuivent généralement des objectifs similaires. Multiplier les certifications pour un même immeuble, tenant compte de l’investissement que représente la démarche, n’est pas toujours opportun. « Certaines sont toutefois complémentaires, comme la certification WELL, qui s’attache plus aux enjeux de bien-être des occupants qu’aux aspects environnementaux, explique François Deravet. BREEAM, DNGB et HQE, d’autre part, mettent davantage l’accent sur les vertus environnementales globales du bâtiment. Selon la typologie de projet, ce que l’on souhaite faire valoir, il conviendra de s’orienter vers l’un ou l’autre référentiel. »
Se poser les bonnes questions
Dès lors, dans l’optique de garantir la qualité d’un développement immobilier, au regard du marché et des attentes futures des occupants, quelles démarches de certification faut-il privilégier ? Comment ces certifications contribuent-elles à la valeur d’un bien immobilier ? A quoi faut-il être attentif avant de se lancer dans une démarche de certification ? Comment bien aborder ces outils ?
Ces questions seront au cœur d’un webinaire que nous vous proposons de suivre le 29 septembre. Les experts d’Energie et Environnement, riches d’une expérience en certification BREEAM depuis près de 20 ans, partageront avec vous leur maîtrise des diverses certifications, pour vous aider à mieux les comprendre et à les utiliser.
